Vendredi 28 Février : Un one-shot d'un jeu au choix sur forthedrama.com (places dispo : 0/4)

Je dois avoir entre 20 et 30 parties de dftq, de quoi avoir déjà pas mal forgé cet avis :slight_smile:

enfin, un avis peut toujours changer évidemment !

Un avis peut changer, mais je ne crois pas qu’il soit souhaitable de rogner sur ses envies de jeu, d’expérience visée.
Jouer est se frustrer mutuellement et « intelligemment ». Des outils existent pour se prémunir d’une frustration intolérable. Mais sans ce facteur d’inconnu, le plaisir de jouer est somme tout « restreint »…

Pour ce qui est de la montée vers le climax… dftq est un jeu de questions, sortant au hasard, ne suivant pas de structure (comme dans un film). De montée organisée, il n’y en a qu’artificiellement du fait de la dernière carte, moment où il faut « trancher ». Avant cela, il y a toute une construction… qui « décide » elle plus concrètement du climax ou non…
… et de la possibilité ou non de répondre à la question finale. En l’occurence, nos androides n’ont pas eu beaucoup de rapports avec ces chers « sacs à viandes ». Donc peu d’approches de ce que sont envie et besoin, pour lesquels n’avoir pas été programmés. Hormis ceux que le Maitre a cru bon doter d’une imperfection systémique organique… La problématique usuelle de la contraction de l’une par l’autre faisant l’essence de la question finale, la partie s’est terminée dans la continuité du slow-burn « établi ».

Nous n’avons peut-être pas jouer " à la lettre", mais comme l’a dit Pierre « Moi ça me va bien ». Nous avons joué comme nous l’avons voulu, très bon point, et le « produit » a été cohérent, intense par endroit… très chouette. Chacun voit midi à sa porte, mais nos horloges se sont plutôt pas mal synchronisées! :slightly_smiling_face:

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Tout à fait, la partie était chouette (chlong). Vu les réactions, je pense que je me suis mal exprimé, en tout cas plus durement que je ne l’aurais voulu. Je suis très (trop?) en mode cheminement intérieur en ce moment et ce qu’il y a de bien avec le jdr comme avec beaucoup de sujets, c’est qu’il n’y a pas de vérité absolue. A une prochaine.

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